L’Atelier du Fleuriste – Nouvelle offre champêtre à Rodez

Dans un magasin lumineux de 170 m2 à Bourran, Stéphane Embialet distille au travers de ses fleurs de saison, son amour du local, du travail bien fait et de la qualité. Une belle aventure familiale où trois générations accompagnent avec sensibilité les moments d’émotion de leurs clients.

Pendant la crise sanitaire, L’Atelier du Fleuriste a été sollicité par de nombreux clients ruthénois sur les réseaux sociaux. De quoi alimenter l’envie de Stéphane Embialet d’ouvrir son 3e magasin, après Villeneuve et Figeac… une boutique plus importante, qu’il a installée au 13 bis avenue de Bourran, début mars. Dans un large espace, des bouquets aux couleurs vives vous accueillent, aux côtés de plantes d’extérieurs et de fleurs séchées. En arrière-plan, un espace déco avec du petit mobilier tendance, des vases à vendre, qui donnent à l’Atelier Fleuriste un certain caractère. Le style de L’Atelier du Fleuriste ? Un esprit champêtre, naturel, des bouquets bien garnis en fleurs. Référencé Interflora, il livre jusqu’à 20 km autour de Rodez.

Les fleurs du Var, « les plus belles »

Ici, l’offre est plus concentrée qu’ailleurs mais pour de bonnes raisons. « A 80 %, nos fleurs sont françaises et proviennent du Var », présente Stéphane Embialet, détenteur du label de qualité Hortisud créé par les producteurs du Var. « Nous privilégions la qualité à la quantité. Nous n’avons pas de frigo, nous travaillons de façon traditionnelle, en achetant des fleurs fraîches trois fois par semaine. Quand je vends un bouquet, je sais qu’il va tenir de 8 à 15 jours ! »

Des valeurs familiales

Souci de la qualité et du travail bien fait, des valeurs fortes polies par les années qui ont accompagné la famille Emb ialet depuis l’installation des parents à Villeneuve d’Aveyron en 1965. Ces derniers rachètent alors l’épicerie d’Henri Raynal, une institution locale depuis  1909, tout en devenant très proches de ce dernier, grand-père d’adoption de Stéphane… qui reprend la société en 1999. Des fleurs y étaient vendues mais il faudra attendre 2008 pour que le gérant abandonne l’alimentation pour se consacrer au végétal à 100 %. Après avoir créé plusieurs boutiques « Fleurs de Thiem », puis revendu certaines, Stéphane Embialet pilote aujourd’hui le magasin de Villeneuve, tenu par sa maman (pas convaincue par la retraite), un deuxième à Figeac ouvert en décembre 2020, géré par son fils Thibault, et le dernier à Rodez où l’aide sa fille Emma. Un nouveau défi dans lequel l’entrepreneur met tout son cœur, convaincu que la fleur est un produit pas comme les autres, chargée d’une émotion particulière et productrice de lien social.